le cynisme de michel monnereau

Jeud i 16 avril, les élèves de 2nde 11 et de 1ère L2 ont eu le plaisir et l'honneur de rencontrer Michel Monnereau, auteur entre autres du roman On s'embrasse pas (La Table ronde). En amont, ils se sont tous essayé eux-mêmes à l'écriture, les premiers...

Florian N. 1°L2 P.25/26 de "On s'embrasse pas ?" Présentation : Dans cet extrait, Bernard est de retour chez lui et aprerçoit la maison d'Andréa, ce qui lui rapelle d'agréables souvenirs et notamment ces nombreuses soirées d'été passées avec elle. Dans...

Carnet de déroute Juin 1665, Londres. Il n’osait penser à celle qui se trouvait au fond de ce couloir noir et vide, où régnait en maître l’humidité qui se voyait à la couleur verdâtre des murs, on pouvait aussi admirer des taches de fuites d’eau. Un léger...

La fenêtre claquait vivement. Ce temps capricieux n'avait pas fini de pleurer son désespoir. Dans cette ancienne bâtisse où j'avais passé trente années de ma vie, tout était resté intact. Mis à part les escaliers en bois qui vieillissaient, la tapisserie...

Carnet de déroute Johanna M. 2°11 Je ne voulais pas y croire. Invraisemblable! Cela faisait maintenant plus de deux mois que plus rien ne semblait vouloir passer par ici : ni le laitier et encore moins le facteur. Et voilà que devant chez nous, accoudé...

Carnet de déroute La grande horloge centrale de l’aéroport d’Orly indiquait 19h15 lorsqu’Alice leva la tête. Nous étions le 20 janvier 1994 et le temps était excécrable. Dans la cafétéria, la tempe collée au carreau, elle observait les lourds nuages constatant...

P54 à 56 de « un moteur d'autobus » à « à tout à l'heure tonton » Assise dans l'autobus, je regardais négligemment le paysage défiler à le fenêtre. Je m'imaginais que l'on continuerait à rouler sans nous arrêter à la maison habituelle. Mais ma sœur, assise...

Je lisais le journal, assise, dans la cuisine. Distraite par des ombres en mouvement sur la table, je levai la tête et me leva sans fluidité pour mes vieilles articulations en reconnaissant Lucienne, côte à côte de l’homme aperçu dans la cour. Qui était...

Elle était là, immobile, comme enfermée dans de la glace. Même son corps était déjà froid, bien trop tôt. Elle était restée accoudée sur sa table de la cuisine. Ses yeux ne bougeaient plus non plus, sa bouche était quand à elle grimaçante. Son fils descendait...